May 20, 1988
admin

Un nerd à la ferme (1988)

• Galerie Sans Nom, Moncton, NB, 1988

 

May 8, 1988
admin

Naïvement (1988-89)

audio created in 1988-1989:

• ici on tue l’ennui 3:07 min

• i use to be 2:45 min

• get married 4:10 min

Search results Internet Archives

May 6, 1988
admin

Erica the black boxes (1988)

• Installation, Struts, Sackville, NB, 1988

Mar 11, 1988
admin

Christ flying over 1000 cones (1988)

• Saint Mary’s Unniversity Art Gallery, Halifax, NS February 8 – March 11 1990
• Colloque d’art et d’argent, Moncton, NB 1989

 

 

 

 

May 6, 1986
admin

Cube-Aleph (1986)

• Galerie Sans Nom, Moncton, NB, Nov 4 – Nov 23 1986
• Centre for Art Tapes, Halifax, NS, June 10 – July 1, 1987
• Young Contemporaries London Life, London ON, Missisauga ON, Victoria BC, Calgary AB, Montréal QC, Fredericton NB. Dec 1987 – Nov 1988

 

The Aleph-Cube is an image constituting many images, the sum of which is, in fact, one single and original vision. Aleph is the first letter of the Hebrew alphabet. It also signifies, in a system developed by Cantor, a German philosopher and mathematician, the concept of infinity, where each part of the whole is greater than the whole itself.

The Aleph-Cube is an object, an original piece which groups within itself other objects (modules).  Each module contains its very own points of reference with respect to time and space, reflected in the spatial disposition of matter, color, and texture. The modules are unique entities linked to other modules, either by a particular code ofesthetics or by the interaction they may suggest individually with respect to the whole.

The possibility of this interaction, however, is dependent on the very structure of the cube, that is to say, it relies on the facts that each module constitutes within itself a precise moment, chosen and constructed and there by self sufficient.  In addition, the idea of rhythm or the notion of time give the Aleph-Cube a certain poetic reality, in that the very grouping of the 24 modules in one single presence, one single structure, unified by a continuous circular motion enables us to experience, at any given time, a multiplicity of moments which, in fact, would be isolated from one another.  The movement which the the Aleph-Cube generates has, as a starting point, a confluence of various data (spatial disposition of matter, color, texture),whereas the end result reflects the expression of a global vision which, nevertheless, remains inseparable from its components.   DD 1986

 

 

May 6, 1983
admin

L’Hara-Kiri de Santa-Gougouna (1983)

“Ce qui frappe dans ce receuil, c’est l’effet des mots surgissant du connu mais nous projetant dans une certaine étrangeté…Et dans ces mots, la poésie est souvent là comme au hasard, fantastique et innatendue.”Claude Beausoleil – plus aérien Le Devoir Samedi le 21 janvier 1984

L’Hara-Kiri de Santa-Gougouna
Collection Poésie Les Éditions Perce-Neige
54 pages 1983ISBN: 2-920221-07-0
[dessin de couverture : Paul Édouard Bourque, dessins intérieurs : Marjolaine Bourgeois, Jean-Marc Dugas, Yvon Gallant]

ici il n’y a pas de guerre
les gens mourraient de causes naturelles
et causaient de choses ridicules

à chaque jour j’allais dans la rue
et c’était pire qu’aller à la guerre
les choses ridicules c’était nous
nous qui marchions sans se dire bonjour
nous qui regardions la pointe de nos souliers
comme si c’était ces pointes de sable
qui vont se défaire
quand les marées en reviendront d’avoir défait
les pointes de l’autre côté du monde

ici il n’y a pas de guerre
les gens mourraient de causes naturelles
et causaient de choses ridicules

et je me rappelle
nous avions les cheveux gras
nous avions la peau grasse
et l’âme aussi s’en allait grasse
et dieu ne voudra plus de nous
nous qui rêvions aux voyages organisés
alors que là-bas on organisait
des voyages de fin du monde

ici il n’y a pas de guerre
les gens mourraient de causes naturelles
et causaient de choses ridicules

je sortais des maisons
comme des abris atomiques
les voisins étaient en scaphandre
nous nous donnions la main
dans les ciels verdâtres
et ne savions pas le nom
des enfants ni la couleur de leurs yeux
tant le verre des scaphandres était épais

il n’y a pas de guerre ici
seulement un peu de haine
il n’y a pas de guerre ici
seulement des gens ridicules
qui rêvaient à la Grande Guerre
et qui rêvaient de ne pas mourir
et qui rêvaient d’aimer un jour
il n’y a jamais eu de guerre ici
juste un peu de haine

 

Jun 13, 1982
admin

Lorenzo- telex, laser and subterfuge (1982)

1982 Lorenzo- telex, laser and subterfuge, GSN, Moncton and Language Plus, Alma, QC

Daniel H. Dugas

Artiste numérique, poète et musicien, Daniel H. Dugas a participé à des expositions individuelles et de groupe ainsi qu’à plusieurs festivals et événements de poésie en Amérique du Nord, en Europe, au Mexique et en Australie. Son treizième recueil de poésie « émoji, etc. » / « emoji, etc. » vient de paraître aux Éditions Basic Bruegel.

Daniel H. Dugas is a poet, musician, and videographer. He has participated in solo and group exhibitions as well as festivals and literary events in North America, Europe, Mexico, and Australia. His thirteenth book of poetry, 'émoji, etc.' / 'emoji, etc.' has been published by the Éditions Basic Bruegel Editions.

Date : Mars / March 2022
Genre : Poésie / Poetry
Français / English

émoji, etc. / emoji, etc.

Date: Mai / May 2022
Genre: Vidéopoésie/Videopoetry
Français/English

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