Festival acadien de poésie (2021)
Je suis super content d’avoir été invité à explorer ces rivages où nous sculptions.
Merci au Festival acadien de poésie, au CCNB campus de la Péninsule acadienne et à artsnb !
Pour souligner le passage du temps d’une trace concrète, le Festival acadien de poésie a accueilli en résidence d’écriture le poète et artiste interdisciplinaire Daniel H. Dugas, avec pour mandat de créer une suite poétique déclinant au travers son propre prisme les multiples pans – humains, culturels, historiques, écologiques – qui forgent l’identité de notre communauté en évolution.
Dévoilement public par le poète Daniel H. Dugas de la suite poétique créée sur place, qui souligne le 25e anniversaire du Festival acadien de poésie.
https://www.fapoesie.ca/fr/sur-ces-rivages-nous-sculptions-le-monde
Festival acadien de poésie (2018)
Je suis très content de faire partie de cette 22e édition !
Activités
APÉRO-POÉSIE AVEC LES ÉDITIONS PRISE DE PAROLE
2 AOÛT 2018 – 17 H 00 – 18 H 00
Foyer du Centre culturel de Caraquet
Gratuit
Ouvert à tous
Si elles se disent “ancrées dans le Nouvel-Ontario”, les éditions Prise de parole ne s’empêchent pourtant pas de larguer les amarres pour une virée en Acadie. Question de vous mettre en appétit pour le Festival qui prend son élan, c’est le moment idéal d’aller sonder la zone de rencontre entre l’Acadie et l’Ontario francophone.
Avec lectures des poètes Sylvie Bérard et Thierry Dimanche, qui seront intercallées de vidéopoèmes de Daniel H. Dugas et Valérie LeBlanc.
http://www.fapoesie.ca/fr/apero-poesie-avec-les-editions-prise-de-parole
2 AOÛT 2018 H (JOUR ENTIER) – 5 AOÛT 2018 H (JOUR ENTIER)
Mur extérieur de la Galerie d’art Bernard-Jean
Centre culturel de Caraquet
Gratuit
Ouvert à tous
Exposition éphémère de vidéopoèmes par Daniel H. Dugas et Valérie LeBlanc.
Du 2 au 5 août seulement, projection en continu des vidéopoèmes du projet multimédia Everglades, qui allie essai poétique, vidéopoésie et marches sonores. Le projet invite à une prise de conscience du passage de l’être humain dans la biosphère et de ses conséquences, des traces qu’il y dépose; il propose une ré exion sensible et troublante sur la communion avec l’environnement et les forces de la nature.
http://www.fapoesie.ca/fr/everglades-0
Une décennie de mouvance poétique (2016)
Astheure publiait au mois de novembre dernier une critique de « L’Acadie n’est pas une carte postale ». Ce spectacle hommage à Gérald Leblanc était présenté dans le cadre du Festival international de littérature à Montréal le 28 septembre 2015. Bien content de lire les commentaires de Geneviève D’Ortun sur ma prestation.
Des voix de l’Acadie actuelle à l’Acadie n’est pas une carte postale : une décennie de mouvance poétique marquée par l’héritage de Gérald Leblanc – Geneviève D’Ortun
27 novembre 2015 · par Astheure · dans Critique artistique.
L’Acadie n’est pas une carte postale, Éric Cormier [direction artistique et littéraire], Montréal, Festival international de littérature, 28 septembre 2015. Soirée de poésie.
Le décor du Lion d’Or est rouge ce soir, comme la majestueuse éclipse lunaire que l’univers nous a servie hier. Nous sommes dans cette salle à l’ambiance très chaleureuse, voire utérine, pour goûter la poésie présentée au Festival international de littérature (FIL), mais aussi pour marquer un triste anniversaire: celui du départ, il y a dix ans, du poète acadien Gérald Leblanc, instigateur d’un mouvement artistique urbain résolument ancré dans l’authenticité et toujours d’actualité. La salle est rouge, mais l’atmosphère est teintée de bleu. De bleu mouvant…
Soulignons qu’en mai 2004 ce même lieu s’animait pour accueillir Les voix de l’Acadie actuelle, une soirée orchestrée par Gérald Leblanc réunissant Frédric Gary Comeau, Bernard Falaise, les Païens, Marc Chops Arsenault, Éric Cormier, France Daigle, Judith Hamel, Christian Roy, Serge Patrice Thibodeau et Marie-Jo Thério. Plusieurs de ces artistes foulent à nouveau les planches du Lion d’Or ce soir pour scander que « l’Acadie n’est pas une carte postale ».
Gérald, je te connais à travers tes très fidèles amis, des artistes pour qui ton énergie vibre encore au quotidien, des gens dont tu teintes toujours les souvenirs d’un éclat de rire. Je te connais à travers ta plume puisque je n’ai pas eu la chance de te croiser ici-bas avant le 30 mai 2005, jour de ton départ. Ce soir, j’ai soif de ta poésie, j’ai hâte de te découvrir à travers le regard de tes anciens complices.
Après une introduction flamboyante du poète Jean-Paul Daoust, maître de cérémonie pour la soirée, Éric Cormier, le concepteur de l’hommage, donne le coup d’envoi. Se succèdent ensuite une projection du court-métrage Mouvance de Chris LeBlanc et des performances de Gabriel Robichaud, Georgette LeBlanc, Fredric Gary Comeau, Joseph Edgar, Daniel Dugas, Serge-Patrice Thibodeau et Marie-Jo Thério, le tout accompagné en musique par les délicieuses ambiances de Marc Chops Arsenault (basse), Bernard Falaise (guitare) et Philippe Melanson (percussions) et tissé de lectures d’œuvres de Leblanc choisies par Jean-Paul Daoust.
La réunion éclectique d’artistes de L’Acadie n’est pas une carte postale donne lieu à quelques moments de partage particulièrement réussis, denrées trop rares (et donc savoureuses) lors des conventionnelles soirées de poésie. Quel plaisir que de redécouvrir le court-métrage Mouvance qui nous fait sillonner Moncton en suivant la voix de Leblanc accompagnée des Païens[1], de rigoler devant la spontanéité désarmante de Georgette LeBlanc, d’être bercé par la voix envoûtante de Fredric Gary Comeau qui mord dans ses mots jusqu’à en briser le sens pour créer un nouveau rythme… Au chapitre des lectures percussives, le public est bien servi ce soir: les chansons enlevantes offertes par un Joseph Edgar à l’énergie communicatrice viennent agréablement ponctuer l’événement. La contribution originale de Daniel Dugas dans cet amalgame poétique vient quant à elle des montages audio-vidéo très réussis qui accompagnent ses lectures: les associations d’images proposées frappent l’imaginaire du public et fournissent à ses textes une nouvelle profondeur. Et, bien entendu, la vocaliste et improvisatrice hors pair Marie-Jo Thério rayonne sur scène, illuminant le Lion d’Or par la poésie incarnée que sont les mots de Leblanc dans sa bouche : une grandiose finale pour une soirée qui pourrait autrement, de par son format conventionnel, sombrer dans la répétition et l’uniformité.
Là où l’événement perd de son panache, c’est dans sa structure répétitive, donc prévisible, et dans ses longueurs… Déception ici face à l’uniformité des nuances dans la lecture de Gabriel Robichaud qui offre au public une performance plutôt égale sur un ton révolté et à un fort volume d’un texte coécrit avec Jean-Philippe Raîche. Complètement aux antipodes côté intensité, Serge Patrice Thibodeau livre, plus tard dans la soirée, une performance s’étirant en longueur, heureusement colorée par des interventions musicales inventives de Bernard Falaise à la guitare.
Une question subsiste à la suite de cette soirée-hommage à Gérald Leblanc: comment pourrions-nous revisiter le format traditionnel des soirées de lecture avec musique de manière à créer un spectacle engageant et mémorable ? Une partie du problème se trouve peut-être dans la courte préparation habituellement dévolue à la mise en place d’un tel événement. Bien entendu, la rencontre spontanée entre plusieurs artisans des mots et des sons peut donner lieu à des moments d’abandon et de communion d’une force brute ou encore permettre l’expression d’une fragilité ou d’une vulnérabilité troublantes: lorsque des artistes improvisent sans filet, ils embrassent le risque, ils foncent, ils se font confiance, ils se livrent et s’accueillent. Or, dans ce cas-ci nous ne sommes pas dans l’improvisation pure: le matériau de base de chaque segment est déterminé par le choix du poème et de son interprétation par l’auteur. Des périodes de répétition et d’exploration plus longues entre les invités et les musiciens permettraient peut-être de dégager plus clairement les ambiances et les sonorités particulières des textes…
Malgré l’impact de l’œuvre de Leblanc en poésie francophone nord-américaine (en entrevue, Jean-Paul Daoust le compare à Miron), le Lion d’Or n’est pas plein ce soir. Face à la diminution de la fréquentation de spectacles en salle, les artisans de la scène se voient contraints de redoubler d’efforts pour attirer le public, et la soirée de poésie n’échappe pas à ce phénomène. Peut-être que l’intérêt de ce type d’événement passe obligatoirement par une réflexion et une refonte de son format de la part de ses principaux créateurs (poètes, musiciens et concepteurs), car il ne suffit plus de simplement enchaîner des rencontres pour orchestrer un spectacle au contenu substantiel. Gérald aurait dit : « Surprenez-moi »…
Finalement, le pari de L’Acadie n’est pas une carte postale est presque gagné: des thèmes chers à Leblanc (le voyage, la quête d’identité, le positionnement social) ont été soulignés par les auteurs invités afin de créer un hommage en tissant des ponts entre son œuvre et la poésie actuelle. Par contre, la partie « hommage » de la soirée, bien que très tangible dans l’animation de Jean-Paul Daoust, n’est distillée que par quelques rares commentaires de Fredric Gary Comeau et de Joseph Edgar. Elle ne prend tout son sens que durant la prestation de Marie-Jo Thério, qui partage avec le public quelques souvenirs personnels et émouvants qu’elle garde de l’homme. Cette disparité entre le contenu émotionnel de l’animation et les prestations d’auteurs crée un hiatus avec lequel le public doit composer pour se construire une image du poète. La soirée comporte par ailleurs des extraits d’ouvrages attendus de Georgette LeBlanc et Fredric Gary Comeau.
Gérald : ton legs artistique et personnel est si riche que nous nous réunirons encore souvent pour le souligner. À la prochaine, donc. See you next time.
[1] La trame sonore du court-métrage vient d’une captation live du spectacle Les Étoiles filantes présenté au Lion d’Or en 2004.
Citations gratuites (2015)
Flash-back
Alors que j’étais en résidence au Banff Center au début des années 1990, je me souviens d’avoir vu, dans un quartier Calgary, une enseigne qui disait FREE QUOTES. Après une année d’intensité créatrice, c’est la vie tout entière qui m’apparaissait comme un immense projet artistique. J’ai tout de suite pensé qu’il s’agissait de « citations gratuites ». Que les passants pouvaient, s’ils le voulaient, aller consulter le propriétaire de cet incroyable business pour se faire lire une citation d’un auteur ou d’un philosophe. En fait, l’enseigne appartenait à une compagnie d’assurance et les FREE QUOTES étaient en réalité des soumissions gratuites.
Retour au présent.
Dans le cadre de ma résidence d’écrivain à l’Université de Moncton, je me propose de réexaminer cette idée d’échange poétique. Je vais donc installer mon kiosque (une table et une enseigne avec les initiales ER – pas pour Emergency room ni pour Elizabeth Rex, mais plutôt pour Écrivain en Résidence) et inviter la population universitaire à venir me rencontrer et découvrir au hasard une phrase d’un de mes livres.
Le dialogue de ce petit jeu oulipien pourrait aller comme ça :
Moi (un peu comme un vendeur de hot-dogs dans un stade de baseball)
Est-ce que vous voulez une phrase gratuite?
Étudiant
(curieux)
Oui.
Moi
Choisissez un numéro de 1 à 8 (les 8 livres de poésie que j’ai publiés à ce jour)
Étudiant
7 (l’étudiant a choisi « Au large des objets perdus », 2011)
Moi
Choisissez maintenant une page de 1 à 86.
Étudiant
37
Moi
(je vais donc à la page 37, compte les strophes et demande à l’étudiant)
Choisissez un numéro de 1 à 5
Étudiant
3
Moi
Voici votre phrase :
« la lumière entre
dans la caverne de mes pensées
les lanternes et les torches
dans les tunnels du sens »
Je retranscris la strophe sur une carte de visite que je donne à l’étudiant en lui suggérant de bien garder le papier dans son portefeuille comme un gage de succès pour la période des examens. J’en profite aussi pour annoncer ma conférence et le lancement de mon livre qui aura lieu le 3 décembre 2015.
________________________________________________
Pour plus d’information
Téléphone : (506) 858-4050
Afflux – Urban Influx (2014)
Une première! Un de mes textes intitulés Afflux a servi d’inspiration à Robert Lemay pour créer Urban Influx une oeuvre pour quatuor de saxophones. La pièce a été présentée le 23 mars 2014 à la salle de l’University of Illinois in Urbana-Champagne, USA, avec le Proteus Saxophone Quartet.
Voici le texte et la pièce:
Afflux
sur les artères immobiles
des villes en mutation
dans le brouillard du matin
le smog de la pensée
dans le flux et le reflux
de cette vie productive
ça roule
sans cesse sans pause
Si l’argent est le symbole… (2014)
If money is the symbol of trust, poverty is the state of distrust
This series of two videos: Fire and Daylight, looks at the world through the transparent windows on banknotes. Transparency has become democracy’s latest value, a panacea for every malaise. But what is this openness all about? Is this a window that we look through, or is it a screen where we project our dreams? Is transparency the state preceding invisibility
Si l’argent est le symbole de la confiance, la pauvreté est l’état de la méfiance, est une série de deux vidéos : Feu et Lumière du jour. La vidéo utilise les fenêtres dans les billets de banque comme des périscopes pour observer le monde.
La transparence est devenue une des caractéristiques fondamentales des sociétés modernes. Elle semble être la panacée à tous les malaises. Mais quelle est la nature de cette limpidité ? Est-ce que c’est une fenêtre qui nous permet de voir l’avenir, ou est-ce un écran où nous projetons nos rêves ? Est que cette transparence est l’état qui précède l’invisibilité ?
If Money is the Symbol – fire
https://vimeo.com/92978699
If money is the symbols – daylight
https://vimeo.com/92976486
Si l’argent est le symbole – feu
https://vimeo.com/95415327
Si l’argent est le symbole – lumière du jour
https://vimeo.com/95415326
Co-Kisser Festival (2013)
Le festival Co-Kisser a eu lieu le 19 octobre 2013 à Minneapolis-St-Paul dans l’auditorium du Minnesota College of Art and Design (MCAD). Ma vidéo Glissement faisait partie du programme Soul on the Road – Physics, Math, and Memory.
Glissement est une œuvre qui s’interroge sur la mémoire et l’oubli par le biais d’images héritées de mon oncle Camille. Cet oncle était un organiste de talent, un photographe avide et un homme très privé. Après sa mort, ses photographies et ses diapositives ont été distribuées aux membres de la famille. J’ai reçu des images de Madrid, de Rome et de Paris, mais il y avait peu de contexte pour le matériel. On ne savait pas exactement qui peuplait toutes les images. Alors que la plupart d’entre elles avaient une qualité touristique, d’autres étaient plus personnelles. J’ai remarqué que certaines des couleurs commençaient à s’estomper. Son passé, que personne ne pouvait expliquer, disparaissait lentement. Bientôt, il ne resterait rien. J’ai commencé à superposer les images, à les doubler en espérant leur redonner une nouvelle vitalité.
Immédiatement après la projection du programme j’ai participé avec 3 autres vidéastes à une table ronde qui était centrée autour de la question « Pourquoi choisir la poésie vidéo comme moyen d’expression ». Question intéressante et d’actualité, car la vidéo-poésie est un genre de cinéma/vidéo qui a connu un regain d’intérêt au cours des dernières années. Beaucoup de nouveaux festivals, qui se spécialisent dans ce genre, sont apparus un peu partout dans le monde et il y a maintenant un réseau international d’organisations[1]. Selon Jen March, la directrice du festival, le nom Co-Kisser serait une métaphore pour exprimer l’étreinte entre les mots et les images. Une action et une liaison ; étroite et intense. Les œuvres qui ont été présentées dans le cadre de cette troisième édition étaient à l’image de cet embrassement : hybrides, pluriels et souvent expérimentales.
Je remercie artsnb pour leur aide financière qui m’a permis de me rendre à Minneapolis-St-Paul afin de prendre part aux activités du festival. J’y ai fait de belles rencontres et l’énergie, je devrais dire la synergie, continue de vibrer.
[1] Aux Etats-Unis on retrouve, bien entendu, le festival Co-Kisser mais aussi un autre très récent qui vient de s’établir au Colorado : The Body Electric Poetry Film Festival.
[1] Aux Etats-Unis on retrouve, bien entendu, le festival Co-Kisser mais aussi un autre très récent qui vient de s’établir au Colorado : The Body Electric Poetry Film Festival.
De la Poésie entre la mémoire et l’oubli (2013)
Article de Gabrielle Lemieux
Publié dans L’Étoile le 26 septembre 2013 en p. P15
Glissement (2013)
Glissement (2012) has been selected for the C-K Poetry-Film Fest – October 19, 2013, Minneapolis College of Art and Design.
Glissement – (French, English subtitles)
Year / Format Video /2012 / HD
Running time 2 min
Description
My uncle Camille was a gifted organist, an avid photographer and a very private man. When he died, his photographs and slides were distributed to family members, but nobody was able to provide any context for the material. I received one binder with images of Madrid, Rome and Paris. While most of them had a touristic quality attached to them, others were more personal.
As I looked at the images, I noticed that some of the colours were starting to fade away. His past, that nobody could explain, was slowly disappearing. Soon there would be nothing left.
I started to superimpose the images, to double them up in hopes that the memories embedded in there would gather new strength, new life.
Daniel H. Dugas
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